- EAN13
- 9782823616798
- Éditeur
- Olivier
- Date de publication
- 18/02/2022
- Collection
- Littérature étrangère (L'Olivier)
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
Découverte en France grâce à Ces hommes qui m'expliquent la vie, Rebecca
Solnit, essayiste féministe de renommée internationale, a longtemps connu
l'adversité avant de pouvoir faire entendre sa voix. Souvenirs de mon
inexistence revient sur son parcours personnel depuis son installation à San
Francisco à l'âge de 19 ans jusqu'à l'émergence de l'écrivaine reconnue
qu'elle est devenue. A travers ce récit autobiographique, elle explore les
différentes facettes de ce qu'elle appelle l'« inexistence » imposée aux
femmes par les hommes et plus généralement aux minorités par la société.
Puiser dans son vécu lui permet d'étayer une réflexion sur l'identité, sur son
rapport à la lecture et à l'écriture tout en donnant quelques pistes pour
concevoir un monde meilleur : chaque individualité, si opprimée et niée soit-
elle, a la capacité de lutter contre la violence systémique dès lors qu'elle
comprend qu'elle n'est pas seule. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Céline
Leroy
*[5e]: Cinquième
Solnit, essayiste féministe de renommée internationale, a longtemps connu
l'adversité avant de pouvoir faire entendre sa voix. Souvenirs de mon
inexistence revient sur son parcours personnel depuis son installation à San
Francisco à l'âge de 19 ans jusqu'à l'émergence de l'écrivaine reconnue
qu'elle est devenue. A travers ce récit autobiographique, elle explore les
différentes facettes de ce qu'elle appelle l'« inexistence » imposée aux
femmes par les hommes et plus généralement aux minorités par la société.
Puiser dans son vécu lui permet d'étayer une réflexion sur l'identité, sur son
rapport à la lecture et à l'écriture tout en donnant quelques pistes pour
concevoir un monde meilleur : chaque individualité, si opprimée et niée soit-
elle, a la capacité de lutter contre la violence systémique dès lors qu'elle
comprend qu'elle n'est pas seule. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Céline
Leroy
*[5e]: Cinquième
S'identifier pour envoyer des commentaires.