- EAN13
- 9782253941736
- ISBN
- 978-2-253-94173-6
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 24/05/2023
- Collection
- Livre de poche (1)
- Nombre de pages
- 392
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 1,7 cm
- Poids
- 216 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
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9.90
Le Guerrier de porcelaine :
En juin 1944, le père de Mathias, le petit Mainou, neuf ans, vient de perdre sa mère. On décide de l’envoyer, caché dans une charrette à foin, par-delà la ligne de démarcation, chez sa grand-mère qui a une ferme en Lorraine. Ce sont ces derniers mois de guerre que nous fait revivre l’auteur, mêlant sa voix à celle de son père. Mainou va rencontrer cette famille qu’il ne connaît pas encore, découvrir avec l’oncle Émile le pouvoir de l’imagination et trouver la force de survivre dans une France occupée.
Ultramour :
« J’ai pris la contre-allée / Je me suis emporté / Transporté », chantait le fantôme d’Alain Bashung dans mes oreilles. Six cents kilos de mètres après mètres, de panne de vélo, de cabane dans les bois, de péniche belge, de pluie de dandelions, de pluie tout court et parfois très long. Des moulins avant toute chose, un rêve : atteindre Düsseldorf pour y retrouver ma seconde mère biologique, la donneuse de moelle osseuse qui m’a sauvé la vie.
En juin 1944, le père de Mathias, le petit Mainou, neuf ans, vient de perdre sa mère. On décide de l’envoyer, caché dans une charrette à foin, par-delà la ligne de démarcation, chez sa grand-mère qui a une ferme en Lorraine. Ce sont ces derniers mois de guerre que nous fait revivre l’auteur, mêlant sa voix à celle de son père. Mainou va rencontrer cette famille qu’il ne connaît pas encore, découvrir avec l’oncle Émile le pouvoir de l’imagination et trouver la force de survivre dans une France occupée.
Ultramour :
« J’ai pris la contre-allée / Je me suis emporté / Transporté », chantait le fantôme d’Alain Bashung dans mes oreilles. Six cents kilos de mètres après mètres, de panne de vélo, de cabane dans les bois, de péniche belge, de pluie de dandelions, de pluie tout court et parfois très long. Des moulins avant toute chose, un rêve : atteindre Düsseldorf pour y retrouver ma seconde mère biologique, la donneuse de moelle osseuse qui m’a sauvé la vie.
Commentaires des lecteurs
Le guerrier de porcelaine
En plein juin 44, Mainou, une dizaine d'années, doit quitter Montpellier, zone libre, pour aller vivre un temps chez sa grand-mère en Lorraine. On va vivre avec lui et sa famille haute en couleur la dernière année de la guerre, ...
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