- EAN13
- 9782715245488
- Éditeur
- Mercure de France
- Date de publication
- 29/08/2017
- Collection
- Le Temps retrouvé, format poche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
Fille de Berthe Morisot et d’Eugène Manet, Julie Manet (1878-1966) évolue dans
l’univers artistique et intellectuel de la Belle Époque. On connaît bien son
visage et sa silhouette car toute sa vie elle posa pour sa mère et pour de
nombreux peintres, et notamment pour son oncle Édouard. Elle fut très liée
avec Renoir, son mentor, Degas, Monet, Pissarro, et bien d’autres. À la mort
de son père, son tuteur n’est autre que Stéphane Mallarmé… Empreint de
sensibilité et d’humour, son Journal (1893-1899) est celui d’une jeune fille
qui relate ses émotions ; mais c’est surtout une chronique captivante de la
vie des Impressionnistes. À leur propos, elle nous fournit de nombreuses
anecdotes collectées lors de rencontres, d’invitations, de voyages, ou dans
l'intimité secrète de leur atelier. Jeune fille de son temps, Julie peint,
joue du violon, découvre la musique de Wagner, lit les écrivains à la mode,
rêve et évoque les affaires qui agitent l'époque – l’affaire Dreyfus ou la
visite du tsar Nicolas II en 1896. C’est avec émotion qu’on la voit également
se lier d’amitié avec Ernest Rouart, dont elle deviendra l’épouse en 1900…
l’univers artistique et intellectuel de la Belle Époque. On connaît bien son
visage et sa silhouette car toute sa vie elle posa pour sa mère et pour de
nombreux peintres, et notamment pour son oncle Édouard. Elle fut très liée
avec Renoir, son mentor, Degas, Monet, Pissarro, et bien d’autres. À la mort
de son père, son tuteur n’est autre que Stéphane Mallarmé… Empreint de
sensibilité et d’humour, son Journal (1893-1899) est celui d’une jeune fille
qui relate ses émotions ; mais c’est surtout une chronique captivante de la
vie des Impressionnistes. À leur propos, elle nous fournit de nombreuses
anecdotes collectées lors de rencontres, d’invitations, de voyages, ou dans
l'intimité secrète de leur atelier. Jeune fille de son temps, Julie peint,
joue du violon, découvre la musique de Wagner, lit les écrivains à la mode,
rêve et évoque les affaires qui agitent l'époque – l’affaire Dreyfus ou la
visite du tsar Nicolas II en 1896. C’est avec émotion qu’on la voit également
se lier d’amitié avec Ernest Rouart, dont elle deviendra l’épouse en 1900…
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