- EAN13
- 9782336422602
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 14/03/2024
- Collection
- Points de vue
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Pierre-Claver Ndahayo, mon père
Pionnier de la révolution rwandaise
Eugène Ndahayo
L'Harmattan
Points de vue
Autre version disponible
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Papier - L'Harmattan 43,00
Pierre-Claver Ndahayo est une des grandes figures de la révolution rwandaise
de 1959 qui a mis fin au régime monarchique. Il a joué un grand rôle dans les
institutions de la première république, sous le gouvernement de Grégoire
Kayibanda, le premier Président du Rwanda indépendant. Il a été assassiné à la
suite du coup d’État militaire fomenté par le Général-Major Juvénal
Habyarimana, le 5 juillet 1973. A travers l’engagement et le parcours
politique de son père, l’auteur revisite dans la première partie du livre
l’histoire du Rwanda, loin des idées reçues sur l’histoire récente du pays, la
période précoloniale et coloniale, et la Révolution de 1959. Il revient aussi
sur le coup d’État du 5 juillet 1973 : sa préparation, sa justification, les
complicités, la machine à tuer mise en place et contrôlée par le Général-
Président Habyarimana lui-même. Il dénonce la mise à mort des prisonniers
politiques de 1973, et les atrocités indescriptibles infligées aux victimes,
la persécution et l’anéantissement de leurs familles.
de 1959 qui a mis fin au régime monarchique. Il a joué un grand rôle dans les
institutions de la première république, sous le gouvernement de Grégoire
Kayibanda, le premier Président du Rwanda indépendant. Il a été assassiné à la
suite du coup d’État militaire fomenté par le Général-Major Juvénal
Habyarimana, le 5 juillet 1973. A travers l’engagement et le parcours
politique de son père, l’auteur revisite dans la première partie du livre
l’histoire du Rwanda, loin des idées reçues sur l’histoire récente du pays, la
période précoloniale et coloniale, et la Révolution de 1959. Il revient aussi
sur le coup d’État du 5 juillet 1973 : sa préparation, sa justification, les
complicités, la machine à tuer mise en place et contrôlée par le Général-
Président Habyarimana lui-même. Il dénonce la mise à mort des prisonniers
politiques de 1973, et les atrocités indescriptibles infligées aux victimes,
la persécution et l’anéantissement de leurs familles.
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