- EAN13
- 9782081356771
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 14/01/2015
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Flammarion 18,00
Salle des machines remet en perspective l’ensemble du parcours de Jean-Michel
Espitallier. Le livre s’ouvre sur son premier recueil, épuisé de longue date
(Ponts de frappe), augmenté ici de plusieurs inédits, et se poursuit avec deux
opuscules ultérieurs : une tragi-comédie sanglante (Fantaisie bouchère) et un
pamphlet acerbe, rédigé lors de la seconde guerre du Golfe (En guerre). S’y
ajoute une suite inédite, composée ces dernières années en vue d’un second
Théorème d’Espitallier, finalement laissé en suspens. « Voici donc (nous
précise l’auteur) un livre constitué de pièces détachées, exilées de
différentes époques. Il doit être lu non comme un recueil un peu contraint de
textes parfois conflictuels, mais plutôt comme un livre neuf, constitué d’un
seul et même mouvement d’écriture, succession d’épisodes d’une même aventure,
d’une même métamorphose, qui, accessoirement, pourra donner des débuts de
réponses à l’inusable question placée en préambule : écrire, pourquoi ? »
Espitallier. Le livre s’ouvre sur son premier recueil, épuisé de longue date
(Ponts de frappe), augmenté ici de plusieurs inédits, et se poursuit avec deux
opuscules ultérieurs : une tragi-comédie sanglante (Fantaisie bouchère) et un
pamphlet acerbe, rédigé lors de la seconde guerre du Golfe (En guerre). S’y
ajoute une suite inédite, composée ces dernières années en vue d’un second
Théorème d’Espitallier, finalement laissé en suspens. « Voici donc (nous
précise l’auteur) un livre constitué de pièces détachées, exilées de
différentes époques. Il doit être lu non comme un recueil un peu contraint de
textes parfois conflictuels, mais plutôt comme un livre neuf, constitué d’un
seul et même mouvement d’écriture, succession d’épisodes d’une même aventure,
d’une même métamorphose, qui, accessoirement, pourra donner des débuts de
réponses à l’inusable question placée en préambule : écrire, pourquoi ? »
S'identifier pour envoyer des commentaires.